Lorsque nous avons identifié un besoin (ex: j’ai besoin de prendre meilleur soin de ma santé), que nous percevons en nous des ressources pour y répondre ( ex: ma gourmandise rendrait assez facile pour moi de prendre soin de ma santé par mon alimentation, pour commencer), et que nous sommes déterminé·e·s à faire quelque chose, que pouvons-nous faire pour que nos ressources répondent effectivement au besoin ?

Sept outils peuvent s’avérer précieux pour accomplir cela.

Les quatre premiers outils, Décider de le faire, Agissez comme un·e pro, Dépensez votre énergie de façon stratégique et Créer est un processus, ont été traités dans des billets précédents.

Voici un cinquième outil : Le travail est à pratiquer régulièrement

Si vous envisagez de débuter une nouvelle activité (un sport, de la musique, une activité artistique, etc.), vous savez déjà que nous n’excellerez pas instantanément et que toute progression suppose de la pratique.

Il en va de même avec le travail : pour qu’il vous conduise où vous le souhaitez, pour qu’il vous permette, dans l’hypothèse qui nous intéresse ici, de répondre à un besoin extérieur grâce à vos propres ressources, il vous faut le pratiquer avec régularité, intention, investissement.

Il vous faut respirer profondément dans les moments de résistance, inévitables, comme vous respireriez profondément (inspire, expire, inspire, expire) pour aller encore plus avant dans une posture de yoga ou l’apprentissage d’une scène d’une pièce de théatre.

Allez-y.

Faites-le.

Régulièrement, avec engagement.

Cela vous permettra une évolution substantielle.

Des mauvais jours surviendront mais ils n’auront aucune signification particulière. Ils ne résisteront pas au travail, régulier, intentionnel. Ils ne seront que ce qu’ils sont (des jours moins agréables que les autres), ils ne signifieront en rien que votre projet est perdu, fini, raté.

Ils n’entameront pas votre choix de chaque jour poursuivre votre travail.

(Aller à l’outil suivant)

Et aussi...