Une rose est une rose.
Ou pas….
Non seulement il n’existe pas deux roses identiques,
sa définition peut être simple (fleur du rosier) ou complexe,
mais surtout chacun porte le regard qu’il·elle veut/peut sur chaque rose unique.
En témoignent les photos de rose de ce post : une seule et même rose, photographiée pour ainsi dire au même moment, le même jour, en un même lieu par une même personne (moi)
= 4 perspectives différentes, toutes 4 légitimes, toutes 4 reflets d’UNE réalité.
Il en va de même pour TOUTE chose, TOUT événement.
Chaque point de vue est “la réalité” pour celles et ceux qui le partagent, ni plus exacte ni plus fausse que les autres points de vue.
Cela paraît évident, n’est-ce pas ?
Et pourtant, accordons-nous autant de crédit aux points de vue des autres qu’à nos propres points de vue ? Un peu, beaucoup, pas du tout ?
Ne pensons-nous pas bien souvent “avoir raison” tandis que l’autre a tort, se trompe, n’a rien compris ?
Que de conflits parce que nous tenons tant à ce que notre point de vue surpasse voire efface tous les autres…
Je vous propose cette semaine de réfléchir à cela lorsque vous aurez envie de défendre votre point de vue.
Et à savourer l’énergie gagnée à chaque fois que vous laisserez l’autre avoir son regard sur le monde sans chercher à lui faire partager ou valider le vôtre.
Ce billet a été adressé, complété d’une recette, aux abonnés du site Le droit d’Etre Moi.
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